En 1990, Année internationale de l'alphabétisation, trois groupes de Lanaudière s'unissaient pour présenter un projet au programme «Initiatives fédérales-provinciales conjointes en matière d'alphabétisation» (IFPCA).
Concert'Action Alpha est formé de:
Depuis, de multiples projets ont été réalisés par les trois groupes concertés.
Afin de bien saisir les informations de ce guide-référence et pour éviter la confusion dans l'utilisation de certains termes particuliers à nos groupes d'alphabétisation, nous les définissons dans cette page.
Adultes en formation
On les appelle aussi «participants-participantes», «apprenants-apprenantes».
Comité de travail
Formé de trois représentantes des organismes de la concertation ainsi que de la chargée de projet, ce comité voit à la réalisation des projets.
Formatrices
Personnes qui assurent la formation en alphabétisation.
Groupe
Regroupement ou rassemblement de personnes.
Structures
Les comités, conseils d'administration, assemblées générales... présents dans nos organismes.
Au départ nous avions plusieurs questionnements sur la participation et l'implication des adultes au sein de nos organismes:
D'autre part, notre projet visait «... l'analyse des éléments reliés au développement du sentiment d'appartenance pour que les adultes en démarche d'alphabétisation acquièrent et développent au maximum des compétences qui enrichiront l'organisme mais aussi leur quotidien.»1 Nous avons ciblé l'objectif général suivant: «Cerner l'ensemble des composantes qui contribuent au développement du sentiment d'appartenance afin d'améliorer le contenu des démarches réalisées par les adultes.»2
Enfin, nous recherchions des façons d'intégrer à nos pratiques les principes de l'alphabétisation populaire3.
Nous n'avons pas la prétention d'avoir résolu tous nos dilemmes, ni n'avoir réponse à toutes nos questions. Tout comme le jardinier qui acquiert de l'expérience par essais et erreurs, à vous de poursuivre la démarche avec l'aide et l'expérience de votre équipe de travail, avec les connaissances des adultes en formation et en vous fiant à vos intuitions...
Le présent guide renferme:
Vous y trouverez des éléments qui se dégagent de notre travail sur le sentiment d'appartenance, à savoir:
Cet outil permettra d'intégrer à nos pratiques, des éléments en lien avec le développement du sentiment d'appartenance. Nous souhaitons que le guide soit éclairant, enrichissant, stimulant pour toutes les personnes (formatrices, adultes en formation, différentes structures de nos organismes: membres du conseil d'administration et de l'équipe de travail, bénévoles...) qui travaillent à améliorer la vie de groupe et le dynamisme de l'organisme.
Ce guide-référence pourrait aussi être utile aux nouvelles formatrices en leur permettant d'allier, de manière concrète, les pratiques et les principes de l'alphabétisation populaire.
Le premier défi a consisté à trouver quelques informations et indications sur le sentiment d'appartenance. Voici les sources et les lieux de notre recherche:
Les données ont été recueillies par le biais:
Elle a exigé:
et nous a amenés à faire:
Définition
Lors de la deuxième journée-échanges (mars 2004), les formatrices ont discuté à partir d'une définition que le comité de travail leur proposait comme point de départ à leurs réflexions: «Le sentiment d'appartenance est la sensation de faire partie de, que l'on est un élément important du groupe.» À la fin de la journée nous n'avons pas eu consensus sur le sujet. Le comité de travail est plutôt reparti avec quelques mots-clés sur lesquels tout le monde s'entendait:
Mots-clés:
Finalement, lors de la troisième journée-échanges avec les formatrices, nous avons adopté la définition suivante:
«Le sentiment d'appartenance, c'est sentir que l'on fait partie d'un groupe.»
C'est à la lumière de cette définition que toute notre réflexion sur le sentiment d'appartenance a été validée.
[Voir l'image pleine grandeur]
Conditions favorables
Sous ce vocable, nous avons regroupé quelques conditions qui contribuent de différentes façons à développer le sentiment d'appartenance.
Seules ou inter reliées, elles ont un impact différent selon les personnes et selon le groupe. Ce sont autant des attitudes, tant de la part des adultes en formation que de la formatrice ou encore de l'organisme, que des façons de faire ou des manières d'intervenir.
L'accueil est un élément important qui favorise grandement le développement du sentiment d'appartenance.
Cette condition, déterminante lors du premier contact de l'adulte avec l'organisme ou le groupe, l'est tout autant à chacune des rencontres.
L'organisme:
La formatrice:
L'adulte en formation:
Dans les diverses manières qu'ont les adultes d'exprimer leur sentiment d'appartenance, on entend souvent: «Je sens que j'ai ma place, une place dans ce groupe-là...»
Chaque personne du groupe est importante. L'adulte sent que l'on s'intéresse à lui, qu'il apporte quelque chose au groupe, qu'il est unique, qu'il est quelqu'un. La personne prend sa place graduellement et développe son sentiment d'appartenance.
L'organisme:
La formatrice:
L'adulte en formation:
Lorsque les adultes découvrent qu'ils ne sont pas seuls à vivre une même réalité (ex. difficultés de lecture et d'écriture, pauvreté, etc.) cela facilite le développement du sentiment d'appartenance. Ils sentent alors qu'ils font partie du groupe de par leurs ressemblances dans le vécu, leurs expériences, leurs difficultés ou les barrières rencontrées, leurs intérêts, leurs besoins...
L'organisme:
La formatrice:
L'adulte en formation:
La vie de groupe permet de tisser des liens, de vivre des choses ensemble, ce qui contribue au développement du sentiment d'appartenance.
L'organisme:
La formatrices:
L'adulte en formation:
Si l'adulte se sent respecté tel qu'il est, dans ses réalités, ses différences et a le sentiment de ne pas être jugé, il sent alors qu'il fait partie du groupe et développe son sentiment d'appartenance.
L'organisme:
La formatrice:
L'adulte en formation:
Le groupe amène l'adulte à prendre conscience de ses capacités, de ses forces et les met en valeur, ce qui fait qu'il se sent important dans le groupe et y développe un sentiment d'appartenance. Cette condition favorable est souvent la prémisse pour que certains adultes prennent «une place, de la place».
L'organisme:
La formatrice:
L'adulte en formation:
Pour qu'il se sente davantage partie prenante du groupe, l'adulte doit avoir accès à diverses structures participatives (comités, conseils d'administration, ateliers...) et avoir la possibilité de s'impliquer de différentes façons (bénévolat, prise de décision, mise à contribution des habiletés...).
L'organisme:
La formatrice:
L'adulte en formation:
C'est ce qu'on peut voir, observer concrètement dans les paroles, les gestes, les comportements, les attitudes des adultes qui ont développé un sentiment d'appartenance. Toutes ces manifestations ne s'observent pas chez tous les adultes et peuvent se traduire différemment d'une personne à l'autre.
Nous présentons les manifestations «en vrac», sans ordre de priorité ou d'importance. Pour chacune, nous donnons quelques explications ainsi que des exemples de ce qu'il est possible d'observer lorsqu'un sentiment d'appartenance se manifeste.
Pour illustrer nos propos, nous avons inséré à l'intérieur de bulles, des extraits d'entrevues menées auprès d'adultes de nos groupes.
L'adulte est en lien
Il est en lien, se préoccupe de ce que les autres vivent, jase avec eux, apprécie leur présence, développe une complicité...
Les adultes du groupe sont contents de se voir, ont du plaisir ensemble. Quand ils ont fait connaissance, divers liens se développent: liens d'amitié, de confiance...
On est comme dans une famille!
Quand l'adulte est en lien, on observe:
L'adulte est attentif aux autres
Il porte attention aux autres, les soutient, les encourage et les aide.
Quand j'ai été malade, le monde du groupe m a envoyé une cartel j'ai senti que je leur manquais, qu'ils s'inquiétaient de moi...
Quand l'adulte est attentif aux autres, on observe:
L'adulte est à l'aise
Il est à l'aise d'intervenir, de s'exprimer dans le groupe. Il n'a pas peur d'être jugé. Il se sent accepté.
Je suis à l'aise avec les personnes dans le cours.
Quand l'adulte est à l'aise, on observe:
L'adulte utilise, met à contribution ses connaissances, ses compétences, ses forces, ses habiletés
Il reconnaît ses connaissances, ses compétences, ses forces et ses habiletés et veut en faire profiter le groupe. Il a suffisamment confiance dans le groupe pour les mettre à contribution. Il se sent utile et important.
J'ai confiance en ce que je fais. On me demande pour faire des choses sur l'ordinateur...
Quand l'adulte utilise ses connaissances, ses compétences, ses forces, ses habiletés, on observe:
L'adulte est fier de faire partie du groupe
Il est content d'être avec ces personnes, de faire des choses avec elles, d'y avoir une place. Le groupe a de l'importance à ses yeux.
Je suis fière d'être une partie de ce groupe...
Quand l'adulte est fier de faire partie du groupe, on observe:
L'adulte est fier de son groupe
Il parle positivement et spontanément de son groupe, de ses réalisations et de ce qui s'y passe.
Je suis fière de notre groupe et des réalisations de la CSML...
Quand l'adulte est fier de son groupe, on observe:L'adulte est fier de son implication
Il retire une grande satisfaction à s'impliquer et le manifeste.
Je me sentais bien importante quand j'allais à des rencontres... Ça me donne le goût de faire quelque chose pour les autres.
Quand l'adulte est fier de son implication, on observe:
L'adulte a du plaisir avec les autres
Il a du plaisir à travailler et à se divertir avec les autres.
Je suis contente de participer aux fêtes...
Quand l'adulte a du plaisir avec les autres, on observe:
L'adulte utilise un langage inclusif
Dans son langage, il s'associe, s'inclut et s'identifie au groupe. Il s'affirme en mode collectif.
Le «Vous allez faire une belle sortie.» se transforme en «nous allons faire une belle sortie.»
Quand l'adulte utilise un langage inclusif, on observe:
L'adulte a à cœur la mission, la vie et le développement de l'organisme
Il est convaincu de l'importance de l'organisme et se sent concerné. Il se préoccupe du respect de la mission de l'organisme et est prêt à le défendre.
Je vends des choses pour le financement de l'organisme, comme ça je remets un peu de ce que j'ai reçu...
Quand l'adulte a à cœur la mission, la vie et le développement de l'organisme, on observe:
L'adulte s'implique de différentes façons
Il prend part à la vie de groupe et aux activités, et s'investit de diverses façons et à différents niveaux.
J'appartiens au groupe et je m'implique. Je me sens plus concerné...
Quand l'adulte s'implique de différentes façons, on observe:
L'adulte démontre de la constance
L'adulte trouve important d'être là et le démontre par une présence régulière parce que les activités du groupe lui tiennent à cœur.
Personne ne manque les ateliers. La présence et les talents de chacun sont importants...
Quand l'adulte démontre de la constance, on observe:
À partir de nos observations et de nos expériences, nous avons pu déceler les effets9 positifs suivants:
Quand une personne a développé un sentiment d'appartenance, il en résulte fréquemment:
Quand des personnes ont développé un sentiment d'appartenance, il en résulte fréquemment, pour le groupe:
Quand des personnes ont développé un sentiment d'appartenance, il en résulte fréquemment, dans l'organisme:
Mais attention...
développer un sentiment d'appartenance ce n'est pas perdre son sens critique, ce n'est pas appartenir à une secte...
Nous avons «jardiné» le sentiment d'appartenance, nous avons découvert certaines conditions propices à son éclosion et à son développement. Nous l'avons retourné dans tous les sens avec les adultes en formation de nos organismes, les formatrices, les conseils d'administration... Nos «manipulations» ont porté fruit, la récolte fut abondante et a contribué à développer grandement notre champ de connaissances.
L'ensemble de notre démarche a donc permis de trouver des réponses à quelques-uns de nos questionnements de départ et de définir quelques constats tels que:
Tout ce défrichement a tout de même laissé quelques questions en suspens:
Le terrain du sentiment d'appartenance peut encore être exploré. Nous avons tracé quelques sillons mais il y a encore place pour l'analyse, l'observation sous d'autres angles, d'autres expériences. La pratique de l'alphabétisation populaire est un terreau riche qui favorise ces explorations.
Nous espérons donc que ce guide-référence sera enrichissant et permettra de renouveler certaines pratiques car le sentiment d'appartenance... ça se cultive!
L'alphabétisation populaire fait de l'apprentissage de la lecture, de l'écriture et du calcul un outil d'expression sociale, de prise de parole, de pouvoir sur sa vie, son milieu et son environnement.
L'alphabétisation populaire se caractérise par le pouvoir que possèdent les participantes et participants à l'intérieur des groupes et par leur participation aux prises de décision.
L'alphabétisation populaire est une approche collective à l'intérieur de laquelle l'individu s'intègre à une démarche de groupe, ce qui permet d'acquérir un sentiment d'appartenance, de réaliser des projets et d'avancer des revendications.
L'alphabétisation populaire tient compte des réalités de la vie quotidienne des participantes et participants.
L'alphabétisation populaire implique la conscientisation: une prise de conscience collective des différentes réalités de la société, le développement d'une analyse critique et politique, le passage à l'action dans un objectif de transformation sociale.
Un groupe populaire d'alphabétisation tient compte des besoins et attentes des personnes analphabètes.
Un groupe populaire d'alphabétisation a une approche et des structures démocratiques qui favorisent la participation de l'ensemble de ses membres.
Un groupe populaire d'alphabétisation applique les principes de l'alphabétisation populaire.
Se donner les moyens de la démocratie
Au sein de tous ces espaces, la recherche et la mise en place de stratégies favorisant la participation, la prise de parole et la prise de décisions constituent des facteurs essentiels à la réussite de la vie associative et démocratique dans les groupes. Ces stratégies s'articulent autour des trois éléments suivants: la transmission de l'information; l'animation et le rythme; le développement du sentiment d'appartenance.
Le sentiment d'appartenance
Le fait de se sentir concerné, partie prenante au même titre que les autres membres de l'atelier, du comité ou de l'assemblée, est un facteur important pour favoriser l'implication des participants et participantes. Le sentiment «d'appartenir à un groupe et que celui-ci nous appartient» n'est pas inné. Il se développe à travers tous les événements du quotidien, de l'accueil jusqu'au choix que l'on fait de s'impliquer d'une façon ou d'une autre. Le vocabulaire utilisé par les participants et participantes démontre souvent le développement du sentiment d'appartenance qui se produit: qui n'a pas été témoin du passage de «vous devriez faire ça...» à «on pourrait organiser ça...»?
«Le conseil d'administration a placé au cœur de son mandat la préoccupation de développer le sentiment d'appartenance de tous les participants et participantes du groupe.
Les décisions prises par le conseil d'administration sont inscrites dans un petit journal interne. Ce journal est utilisé dans les ateliers pour réaliser les apprentissages en lecture et en écriture.
Les membres du conseil d'administration (des participants et participantes) font le tour des ateliers pour préparer les gens à l'assemblée générale.»
Extraits de: Par où passe la vie démocratique en alphabétisation populaire? Dossier dans «Le monde alphabétique» par Marie-Hélène Deshaies et Micheline Séguin, article réalisé à partir de propos recueillis auprès de formatrices en alphabétisation populaire. 1996
«Pour susciter l'implication des participantes et participants, il faut avant tout développer le sentiment d'appartenance, élément essentiel à une bonne dynamique de groupe et cela passe par des choses simples: un accueil chaleureux, un p'tit café avec un biscuit, des échanges spontanés sur des préoccupations touchant l'ensemble des personnes... Si ce climat n'est pas présent, le reste demeure difficile.»
Extrait du dossier: Par où passe la vie démocratique en alphabétisation populaire? Par Solange Tougas, Déclic 1996
«Selon les disponibilités et les aptitudes de chacun, tout le monde pourra ainsi s'impliquer (vente de billets, décoration de la salle, recherche de commanditaires...). Les personnes analphabètes jouent alors un rôle actif en assumant une ou plusieurs tâches et renforcent, par la même occasion, leur sentiment d'appartenance à l'organisme.»
Extrait de: La démocratie au quotidien. Dossier dans «Le monde alphabétique» par Mario Haman, La Porte ouverte 1996
Le fait d'appartenir à un milieu de travail peut ainsi conduire à une implication qui déborde le cadre de vie immédiat, et qui ouvre l'individu à des horizons plus larges, en lui offrant la possibilité de multiplier ses appartenances. (...)
Ainsi, en plus de signifier une baisse des revenus, l'appauvrissement résulte aussi en une modification des rapports avec le reste de la société. Et comme l'indique plusieurs études, l'appauvrissement ou l'état de pauvreté influence négativement l'estime que l'on a de soi-même et la perception du rôle que l'on peut jouer dans la société. (...)
Par ailleurs, on vit forcément dans le court et le très court terme lorsque l'on doit composer avec un budget toujours serré. (...) avec l'impression que l'on n'a aucun contrôle sur les événements et sur sa propre existence. Dans une telle situation, on ne peut pas avoir les mêmes priorités que les gens dont l'attention n'est pas continuellement accaparée par les besoins de première nécessité. Sur le plan de la participation sociale entre autres, cela signifie que prendre part à une association (...) apparaît comme un luxe inabordable. On n'a pas d'énergie à investir dans des actions à long terme, même si l'on est conscient des avantages que l'on pourrait en tirer, même si l'on sait par exemple que «l'appartenance à une association débouche souvent sur l'appartenance à une communauté».
Ainsi, «loin de s'attaquer seulement aux individus, la pauvreté disloque aussi des communautés, provoquant la perte de lieux importants de socialisation et empêchant la création d'un sentiment d'appartenance et de solidarités locales.»
Le concept de participation sociale...
La participation sociale peut s'exercer dans différents contextes. Les sphères de la vie familiale, scolaire, économique, culturelle, communautaire, institutionnelle et politique constituent autant de lieux et d'opportunités d'insertion pour l'individu. L'engagement envers le milieu repose ainsi sur l'existence de réseaux d'appartenance auxquels l'individu peut s'identifier et s'affilier. (...)
En somme, parce que l'identité et l'appartenance se construisent à travers les contacts avec une diversité de personnes, dans une grande variété de contextes, il est important que l'enfant puisse bénéficier d'un réseau social immédiat et de milieux de vie qui soient à la fois accueillants, soutenants et stimulants.
Extraits de: La participation comme stratégie de renouvellement du développement social. Forum sur le développement social. «Agir solidairement pour le mieux-être des personnes et des collectivités.» Document de réflexion. Conseil de la santé et du bien-être, avril 1997.
Questions des entrevues
Profil des personnes interrogées
Les journées-échanges des formatrices:
1re journée-échanges:
Objectifs:
Résultats obtenus:
2e journée-échanges:
Objectifs:
Résultats obtenus:
3e journée-échanges:
Objectifs:
Résultats obtenus:
Les ateliers sur les thèmes avec les adultes en formation
Les thèmes abordés:
Quatre thèmes ont été réalisés dans 8 groupes différents:
Les outils créés:
Le déroulement de quatre ateliers:
Questions pour approfondir notre réflexion sur le sentiment d'appartenance avec les formatrices:
- Le nombre d'années de participation de l'adulte aux ateliers et/ou dans l'organisme;
- Le réseau social de l'adulte;
- Sa situation économique;
- Son âge, son sexe;
- Sa personnalité.
Le sentiment d'appartenance ça se cultive!
Guide - référence sur le sentiment d'appartenance
2004-2005
Merci aux adultes en formation, aux formatrices ainsi qu'aux conseils d'administration des trois organismes de la concertation pour avoir alimenté le comité de leurs connaissances, expériences et réflexions.
La réalisation de ce document a été rendue possible grâce au programme «Initiatives fédérales-provinciales conjointes en matière d'alphabétisation» (IFPCA).
Conception graphique
Odette Neveu